Ankylose des canines incluses : étude rétrospective postchirurgicale - 26/11/13
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L’ankylose est généralement évoquée lors d’une résistance au déplacement orthodontique d’une canine incluse. Cette étude rétrospective a permis d’analyser par le biais d’une observation directe de la dent incluse et de son site les causes de résistance au déplacement orthodontique et aussi de rendre compte de l’intérêt thérapeutique de la technique de déplacement chirurgical dentaire dans ce type de situation clinique. Il y apparaît que l’ankylose coronaire primaire est décelable par le praticien orthodontiste grâce à l’étude des documents radiographiques, que l’ankylose cervicale, secondaire au traumatisme opératoire lors du dégagement, est par nature imprévisible et qu’elle doit être suspectée dès que la dent résiste plus de trois mois à la traction s’il n’existe pas d’autre cause évidente de résistance. En ce sens, le risque d’ankylose lié à la difficulté opératoire augmente avec le degré d’enfouissement coronaire dans l’os. Par ailleurs, la mise en traction immédiate après le dégagement permet de réduire le risque d’ankylose. De plus, l’interruption temporaire de la traction est un facteur de risque exposant à l’ankylose apicale secondaire. Enfin, le positionnement chirurgical est à considérer comme le recours ultime et efficace face à toute situation de blocage.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Échec orthodontique, Ankylose, Résorption, Déplacement chirurgical, Transplantation
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Vol 11 - N° 4
P. 422-431 - décembre 2013 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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